Azalea Lyndis
Informations générales
Nom : Lyndis
Prénom : Azalea
Age : 27 ans
Domaine d'activité :
Informations détaillées
Taille : 1m72
Poids : 57kg
Relations : Plus aucune à part EDEN
Évolution :
Buts / Rêves : Gagner sa vie auprès d'EDEN
Difficultés / Traumas :
Résidence / Lieux fréquentés : Orphelinat
Physique
Azaléa est une jeune femme élancée dont les traits fins se marient à merveille avec la taille fine et les bras délicats. Portant le plus souvent une tunique dans les tons bleu-vert, ses cheveux blancs mi-longs sont généralement retenus par un chignon pour ne les laisser retomber qu'à sa nuque. Lorsqu'on regarde ses traits effilés, on pourrait même se dire qu'elle a été comme étirée vers le haut, ne donnant pas une impression assez douce de celle dont les yeux turquoise s'accorderaient pourtant si bien. Mais au contraire de ses grands yeux à peine en amande, elle possède un long nez effilé sans le petit bout en trompette qui aurait pourtant du charme, ainsi que des lèvres étirées, pas le moindre pulpeuses.
> Carrure / Allure
> Visage : Air, expressions, yeux, regard, coiffure…
> Habits
> Traits / Marques particulières
Psyché
> Goûts / Dégoûts
> Habitudes
> Vision du monde
> Vision de soi
> Relationnel
Univers
Conception :
Soul :
Talents particuliers :
Domaines : Solitude, Espoir, Abnégation
> Type de perso : Void
Histoire :
Azalea est issue d'un milieu plutôt aisé d'un Quarter. Dans ses plus jeunes années, elle était une petite fille futée et profitant de toutes les possibilités que lui offraient la vie dans son milieu plutôt aisé. Même si ses parents rentraient parfois tard, elle avait toujours hâte de leur montrer toutes ses nouvelles découvertes de la journée dès que possible, et ils se montraient particulièrement fiers lorsqu'elle leur montrait des expériences de son propre cru pour "faire comme maman". Mais quels que soient les rêves, il s'achèvent au moment du réveil. Qui fut particulièrement brutal pour Azalea quand au lieu de ses parents, ce furent des agents de police qui vinrent la chercher. Elle qui s'attendant à un joyeux retour n'eut droit qu'à un transport lugubre jusqu'à un endroit où étaient rassemblées de nombreuses personnes à l'air paniqué. Elle voulait rentrer chez elle, on lui expliqua que ce ne serait plus possible. Elle voulait voir ses parents, on lui dit que cela non plus ne serait plus jamais possible. Son esprit enfantin et élevé dans un monde où tout allait si bien peinait à comprendre cette dernière chose, et elle les réclama encore pendant de longues heures sans plus de succès. Les seules réponses qu'elles avait étaient celles d'une infirmière visiblement débordée qui passait de temps en temps en répétant seulement de ne pas s'inquiéter. Mais la vision du quartier de son enfance au travers d'un écran de télévision captant l'attention de toute la foule l'emmena bien au-delà de la simple inquiétude. Tout était méconnaissable : les bâtiments étaient souvent effondrés dans un amas de matériaux hétéroclites qu'elle peinait à identifier tant ils étaient nombreux, le sol lui-même ressemblait à une sorte de tapis de bulles de savon solides, et d'étranges sphères noires pouvaient être aperçues par intervalles au milieu de ce capharnaüm. La seule chose que la jeune fille reconnut, ce fut les restes d'une petite fontaine devant là où aurait dû se trouver l'immeuble où elle habitait, mais qui ressemblait désormais plus à une fleur géante et grotesque qu'on aurait trouée pour en faire des confettis.
